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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 08:55

 

Quelques uns d'entre vous ont dans leur classe une proportion significative d'élèves en situation de handicap.

Le Ministère vient de proposer des "modules de formation à distance pour les enseignants des classes ordinaires" qui recèlent des informations intéressantes sur ce sujet.

 

Par ailleurs, j'ai sollicité Alexandre Ployé, le coordinateur de l'ASH à l'IUFM qui m'a fait la première réponse suivante :


Concernant des élèves dyslexiques, l'enseignant devra renoncer autant que faire se peut à certaines de ses habitudes : ainsi la primauté accordée à l'écrit, tant dans le jeu des questions-réponses qui compose le cours que dans la prise en note de la trace écrite désavantage gravement les élèves dyslexiques. le plus souvent, après avoir rencontré les parents qui sont les premiers experts de leur enfant, il faut renoncer aux tâches d'écriture: il faut donner une trace toute prête, ou préparée après que la classe l'aura faite; de même pour l'évaluation, il faut privilégier les sollicitations orales si on veut rétablir un peu d'équité. Bref, il ne faut pas appuyer là où ça fait mal, c'est à dire les tâches d'écriture et faciliter ce pour quoi ces élèves ont appris à compenser, à savoir l'oral. Si néanmoins on donne les tâches écrites, alors il faut très largement donner du temps supp. Il faut se dégager également de représentations très courantes qui assimilent la mauvaise tenue des cahiers de ces élèves, ou l'aspect partiel de leur prise de notes, à de la paresse. Pour un résultat très inférieur, les élèves dyslexiques font des efforts bien plus considérables que les élèves ordinaires. Par ailleurs pour travailler autour de fiches, il faut les adapter à ces élèves: police plus grosse (on conseille arial 14), consigne simple et non démultipliée, présentation aérée. Bref, adapter, compenser, rendre accessible.

 

Alexandre Ployé

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 08:46

Lors de la première demi-journée de transformation transversale, les stagiaires du groupe lycée ont évoqué les questions qu'ils se posaient avant de rencontrer leurs premières classes. On peut regrouper ces interrogations en 3 angles. Le premier concerne l'attitude du professeur, le second l'attitude des élèves, le troisième la relation élèves-professeur. Pour réfléchir à ces questions et fonder des réponses argumentées, on peut se référer au travail des spécialistes en "sciences de l'éducation" qui se posent les mêmes questions et dont les travaux sont référencés sur le site Eduscol.

1. Du côté du professeur (interrogations des stagiaires)

 

Comment faire preuve d'autorité ?

Comment se présenter ?

Quelle tenue revêtir ?

Comment éviter la connivence avec les élèves (ne pas rire à leurs blagues)

Éviter de bafouiller / réussir à s'exprimer clairement

Comment s'affirmer ?

Comment ne pas passer pour un professeur stagiaire ?

Exercer la discipline et l'autorité

la main qui tremble en écrivant au tableau

Comment ne pas être pris pour un/e élève

Comment ne pas être fatigué/e

Comment surmonter la crainte de ne pas être au point scientifiquement ?

Quelle image de soi renvoyer aux élèves ?

Comment cacher son stress ?

Comment exercer une autorité qui ne semble pas forcée ?

Comment rouver une attitude à long terme

Connaître les noms et les prénoms ?

 

Référence scientifique (site neopass) : les postures de l'enseignant 

 

2. Du côté des élèves (interrogations des stagiaires)

(comportements redoutés)

 

Trop grande exigence des élèves

Le silence et/ou le mutisme ?

Manque de réaction des élèves

Moqueries face au style et à l'apprence du prof

Agressivité

Se jouer de l'enseignant (quand ils mettent un pseudonyme sur leur cavalier)

Un élève me trouve beau

Ne veut pas se placer là où je lui demande

Prononce une vulgarité

 

Référence scientifique (site neopass) : les postures élève 

 

3. Du côté de la relation prof/élève (interrogations des stagiaires)

 

Difficultés pour utiliser le matériel (x2)

Comment être strict/autorité ?

Comment faire un cours correct ou bien fait ?

Comment demander le silence ?

Comment gérer le temps ?

Comment estimer leur niveau ?

Comment réagir si l'on est incapable de répondre à une question ?

Comment capter l'attention des élèves ?

Comment faire face à un imprévu ?

Ne pas s'emballer trop dans l'intro et l'analyse des termes ?

Quel niveau de bruit tolérer ?

Comment s 'adapter à des élèves de lycée après des élèves de clg ?

Comment réussir à obtenir le silence ?

Comment interpréter le comportement de l'élève ?

Comment inspirer sa classe ?

Comment appliquer des sanctions mesurées ?

Comment rassurer élèves nouveaux dans établissement ?

Comment instaurer un climat de confiance ?

Comment être clair et succinct sur les présentations en début d'année ?

Comment initier à la prise de notes ?

Faut-il faire un cours magistral ?

Comment mettre les élèves au travail ?

Employer le vouvoiement ou le tutoiement ?

Que dire du fonctionnement de la classe, de la discipline ?

Comment être clair dans ses explications ?

Comment gérer 35 élèves ?

 

Référence scientifique (site neopass) concernant les tâches de l'enseignant :

 

+ d'autres références scientifiques sur le site la classe côté professeur :

4 "fiches pratiques"

 

Les analyses très intéressantes de Yves Michaud (autorité et respect, discipline et dialogue, estime de soi et évaluation, sanction et reconnaissance)

 

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 12:13

 

Les punitions scolaires et les sanctions disciplinaires    
 

 

Les textes distinguent les punitions et les sanctions
Il existe 4 sanctions disciplinaires qui ne peuvent être prononcées que par le chef d'établissement ou le conseil de discipline
    

          * Avertissement

          * Blâme

          * Exclusion temporaire (maximum un mois), assortie ou non d'un sursis

          * Exclusion définitive (assortie ou non d'un sursis)

       Décret n°85-924 du 31 août 1985 - article 3 (modifié par l'article 2 du décret 2000-620 du 5 juillet 2000) - Circulaire n°2000-105 du 11 juillet 2000 titre II 2.3 - Circulaire n°2000-106 du 11juillet 2000 titre II 2.4

La liste des punitions scolaires doit figurer au règlement intérieur. Elles sont prononcées par les professeurs, les personnels de direction, d'éducation ou de surveillance.

          * Inscription sur le carnet de correspondance

          * Excuse orale ou écrite

          * Devoir supplémentaire assorti ou non d'une retenue

          * Exclusion ponctuelle d'un cours

          * Retenue pour faire un devoir ou un exercice non fait


Cette liste de punitions n'est pas exhaustive
Circulaire n°2000-105 du 11 juillet 2000 titre II article 2.2 - Circulaire n°2000-106 du 11juillet 2000 titre II article 2.4 - Circulaire n°2004-176 du 19 octobre 2004 titre II
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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 20:29

Idées résumées de Sanctions et discipline à l’école de Bernard Defrance, La Découverte, édition mise à jour en 2009.

 

L’auteur propose trois pistes de réflexion intéressantes : la nécessité de faire de la classe un groupe, l’institution de règles au sein de ce groupe et sa mise en situation d’apprentissage. Le propos qui suit est un résumé du texte de l’auteur, comportant des convictions personnelles liées à une pratique de l’enseignement, permettant de réfléchir à la gestion d’une classe.

 

1)      Faire de la classe un groupe :

 

Bernard Defrance part du constat qu’une classe n’est pas a priori un groupe constitué à partir de centres d’intérêt communs ou de choix amicaux, mais un regroupement, ou un rassemblement, constitué par hasard en fonction de leur domicile, du choix de langues ou d’options, de filières, etc. Les élèves d’une même classe ne choisissent donc pas d’être ensemble et ne choisissent pas non plus leurs enseignants.  Si bien qu’il est fréquent d’entendre déplorer en conseil de classe l’hétérogénéité ou le manque de cohérence d’une classe.

 

C’est justement aux enseignants de construire progressivement une cohérence, qui ne peut se décréter, en faisant de ce rassemblement aléatoire un groupe, animé par une dynamique collective. Pour cela, la création de projets de classe et l’instauration d’une ambiance permettant à chacun d’éprouver du plaisir à se retrouver ensemble sont indispensables.

 

2)      Instituer des règles au sein du groupe-classe :

 

Pour fonctionner, un groupe a besoin de règles, dont l’enseignant est le garant (attention à l’enseignant « copain » qui se retrouve toujours à un moment ou à un autre ramené à la position de juge, quand il doit remplir des bulletins ou des livrets scolaires, situation qui fait alors comprendre aux élèves qui ne l’avaient pas encore compris de quelles supercheries et manipulations dont ils ont été victimes…). L’auteur souligne que l’attitude face au travail scolaire ou face à des règles  n’est jamais acquise a priori (et ne l’a jamais été), celle-ci est construite progressivement.

 

L’auteur énonce quelques principes sur lesquels doivent reposer ces règles pour qu’elles soient effectives :

 

- Il est nécessaire de fixer des règles communes et des procédures en cas de manquement à ces règles dès le début de l’année. L’enseignant a tout à gagner à expliquer précisément l’ensemble de ces règles et de ses méthodes de travail en début d’année. Il y a lieu également d’exposer clairement ce qui est, dans l’activité même de la classe, « négociable » et ce qui ne l’est pas, ou ce qui ne l’est pas encore mais peut le devenir, en fonction de l’évolution de la classe (les règles peuvent évoluer au cours de l’année, mais il faut que ces évolutions soient toujours clairement établies et expliquées aux élèves).

- L’important ne réside pas dans le degré d’arbitraire ou le caractère conventionnel de ces règles mais dans leur explication. Nous avons tous des manies ou des rituels qui peuvent être institués en règles à condition de les expliciter : par exemple, certains enseignants interdisent de mâcher du chewig-gum pendant leurs cours, or ceci ne nuit pas au fonctionnement de la classe, donc il suffit que l’enseignant explique qu’il ne supporte pas de voir des personnes « ruminer » devant lui.

- La règle, même arbitraire, ne doit pas varier au gré des humeurs de l’enseignant, qui tolèrerait un jour ce qu’il punirait le lendemain. La règle doit être égale pour tous et invariable dans le temps.  L’enseignant doit également s’appliquer les règles qu’il a fixées pour qu’elles soient acceptées par les élèves : il ne faut pas qu’il soit en retard lorsqu’il exige la ponctualité de la part de ses élèves, il ne doit pas mâcher de chewing-gum s’il leur demande de ne pas en mâcher eux-mêmes…

 

 Concernant les punitions et les sanctions :

 

- Toute sanction doit d’abord se référer à une règle explicitée et tenir compte d’une progressivité dans la prise de conscience des exigences de la loi (selon l’âge de l’élève).

- La fonction de la punition ou de la sanction est double : d’une part la réparation envers celui ou ceux qui ont été victimes de la transgression, d’autre part la réinstauration de la loi.

- Un élève a le droit de ne pas être intéressé par un cours. En revanche, nul ne saurait, par son comportement, empêcher les autres de s’y intéresser.

- L’utilisation des notes dans un objectif de normalisation des comportements et non de stricte évaluation chiffrée de savoirs ou de compétences acquis doit être bannie, d’autant plus qu’elle est proscrite dans les textes officiels. On ne doit mettre un zéro ou modifier une note pour punir des comportements considérés comme fautifs (oubli du manuel ou du cahier, bavardages, agitation, etc.). Il faut séparer strictement ce qui relève de l’évaluation et ce qui ressort de la punition ou de la sanction.

- Pour rechercher les meilleurs moyens d’assurer un ordre réel, construit progressivement, dans la classe, le principe directeur est tout simplement de faire en sorte que la punition devienne de plus en plus inutile.

 

 

3)      Mettre le groupe-classe en situation d’apprentissage :

 

L’auteur insiste sur le fait que des cours doivent permettre la construction de savoirs et de sens. Il souligne les bénéfices de la différenciation pédagogique, des travaux de groupe, de l’entraide entre élèves, de la mobilisation des énergies autour de micro-projets communs, bref, tout ce qui permet aux élèves d’expérimenter la très grande variété des modes d’accès aux savoirs et des situations d’apprentissage.

 

Il remet également en cause l’enseignement magistral qui favoriserait la passivité des élèves et les bavardages dans la classe : « la structure de transmission des savoirs interdit à la majorité des élèves de saisir, par une démarche active, la nature même des savoirs ; le paradoxe de la démarche pédagogique imposive et magistrale (qu’elle passe par le cours ou par un jeu de pseudo-questions et de pseudo-réponses : la « devinette » bien connue…) est qu’elle prétend se justifier par la nécessité de respecter les rigueurs et les complexités des savoirs, en décomposant par degrés les étapes de l’analyse, du simple au complexe, et que l’attention ou l’effort seuls peuvent permettre de les comprendre. Or, en privilégiant le programme au détriment du projet, les résultats des acquisitions au détriment de leur genèse, en confondant exposition et imposition, cette démarche va à l’encontre précisément d’une appropriation de la nature véritable des savoirs. Cette instruction n’est dans les faits qu’une accumulation souvent incohérente d’informations diverses, dont la quasi-totalité des contenus reste extérieure au sujet apprenant et n’en modifie en rien les opinions ou attitudes. » (p 83)

 

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 20:26

Résumé d’un article de Clermont Gauthier, Professeur à la Faculté de Sciences de l’éducation à l’université de Laval, publié dans Eduquer et former, Editions Sciences humaines, 2001. Dans cet article, synthétisant des recherches qu’il a réalisées sur le terrain, l’auteur recense les pratiques pédagogiques associées à des gains d’apprentissage chez les élèves et tente de déterminer les qualités et les attitudes des enseignants favorisant la réussite de leurs élèves.

 

  1. La gestion de la matière

 

a)      Le travail des élèves

 

* L’établissement de buts a priori ou d’objectifs explicites à atteindre facilite l’apprentissage des élèves.

 

* La planification du travail favorise l’apprentissage des élèves. Celle-ci doit permettre de lier les nouvelles connaissances à celles que les élèves possèdent déjà.  La réussite des élèves est plus élevée quand les contenus sont présentés avec suffisamment de redondance. La planification doit prendre en compte l’environnement d’apprentissage des élèves.

 

* Une leçon bien conçue prévoit une période où il est possible pour les élèves de s’exercer, en accordant à ces entraînements un temps suffisant. Les activités individuelles, pour être efficaces, doivent porter sur la consolidation et l’automatisation des connaissances acquises en cours et des méthodes à maîtriser. Elles doivent être accompagnées de consignes claires et précises, comporter des éléments de nouveauté, être variées, offrir des défis, être graduées et permettre un haut niveau de succès. L’enseignant doit assurer un suivi attentif durant leur déroulement. Leur correction doit être régulière, spécifique (en visant par exemple à remédier à des difficultés rencontrées par plusieurs élèves pendant l’exercice) et détaillée.

 

b)      La matière proprement dite

 

* L’enseignant doit s’efforcer de présenter clairement sa matière : souligner les aspects importants du contenu avec insistance en répétant plusieurs fois les idées essentielles, utiliser des exemples éclairants, employer un langage précis (en évitant l’emploi de termes trop vagues ou inutilement compliqués), articuler et s’exprimer sans hésitations.

 

* Il est essentiel d’enseigner à l’ensemble de la classe.

 

* Les enseignants qui posent le plus de questions pendant le travail de groupe favorisent davantage l’engagement pendant le travail individuel et, plus généralement, poussent la réussite des élèves.

 

c)       L’évaluation

 

* Il est préférable de varier les formes d’évaluation. Les évaluations doivent être régulières.

 

* L’adoption de critères élevés de correction par les enseignants semble favoriser la réussite des élèves car ceux-ci sont amenés à faire davantage d’efforts, à porter une attention plus soutenue durant les cours et à produire de meilleures performances aux évaluations. Ces critères doivent cependant être accessibles pour les élèves.

 

  1. La gestion de la classe

 

a)      La mise en place de règles de vie de classe

 

* Il est nécessaire de veiller dès les premières semaines de l’année à la planification, à l’implantation et à la communication de règles, de procédures, de relations et d’attentes vis-à-vis des élèves. Ces règles et procédures doivent être clairement expliquées. Les enseignants qui obtiennent le plus de succès dans la gestion de leur classe planifient et évoquent les conséquences qu’entraîne la violation de ces règles.

 

* Les règles doivent être simples et fonctionnelles (donc claires, concrètes et faciles à accomplir), familières et répétées, c’est-à-dire installées sous forme de routine.

 

* Il est important que les élèves soient conscients des comportements qui sont attendus d’eux, mais aussi que les règles et procédures seront systématiquement mises en œuvre. Le simple fait d’établir des règles n’est pas suffisant : l’enseignant doit aussi démontrer une volonté et une capacité à agir lorsqu’elles sont violées. Pour cela, elles doivent également être applicables

 

b)      L’interaction avec les élèves

 

* L’enseignant doit reconnaître rapidement et anticiper les comportements indésirables susceptibles de se propager à l’ensemble du groupe et de perturber l’ambiance de travail. Il doit prendre des mesures appropriées avant que le désordre apparaisse et disposer de procédures et de techniques variées permettant de contrôler ces situations.

 

* Il est nécessaire de toujours être conscient de ce qui se passe dans sa classe et de porter une attention particulière aux écarts de comportements, en étant capable de les reconnaître rapidement et de les faire cesser avant qu’ils ne s’amplifient et aient des conséquences publiques. Il faut éviter, dans la mesure du possible, d’interrompre inutilement le cours pour réprimander un élève : il est préférable de traiter en privé avec les élèves dérangeants afin d’éviter les conflits de pouvoir et d’essayer de les responsabiliser avant d’envisager d’éventuelles punitions.

 

* Le fait de féliciter les élèves peut aider à construire leur estime de soi et à établir une relation bienveillante avec eux. Les éloges sont efficaces lorsqu’ils sont spécifiques plutôt que globaux, s’ils sont utilisés avec les élèves dépendants et anxieux, s’ils sont donnés en privé plutôt qu’en public, s’ils ne sont pas trop fréquents, s’ils sont crédibles et s’ils sont liés au contexte.

 

* Il est nécessaire que l’enseignant supervise étroitement le travail des élèves en circulant beaucoup dans la classe, plutôt que de les laisser travailler seuls à leur table. Il est nécessaire d’adopter comportements non verbaux signifiants et de maintenir un contact soutenu des yeux avec les élèves.

 

* Il est préférable de maintenir un flot d’activité régulier.

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29 août 2008 5 29 /08 /août /2008 07:25
Extraits des textes officiels (programmes de collège) :

Le cahier est le support et le guide du travail des élèves.
- Doivent y figurer les repères chronologiques et spatiaux qu'il est indispensable de mémoriser, la trace des lectures, des observations de cartes, d'images, de documents.
- Le cahier peut être aussi support d'exercices : rédaction autonome, élaboration de croquis. Un résumé complet est-il indispensable ?
- Pour guider l'acquisition desconnaissances, le cahier doit permettre aux élèves de retrouver
en liaison constante avec le manuel repères essentiels et fil conducteur. Ainsi les élèves pourront-ils acquérir une pratique autonome du manuel.

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